Du 18 au 25 janvier : semaine de prière pour l’Unité de tous les baptisés
L’expérience montre combien la division au sein d’un groupe, quel qu’il soit, est nocive. Dans l’Eglise, de grandes fractures ont abîmé la force du témoignage des disciples du Seigneur Jésus. Et dans chaque communauté aujourd’hui, la vigilance s’impose pour chercher le dialogue quand des conflits légitimes apparaissent. Et puis, mieux connaître l’autre différent, ça fait toujours grandir.
Chaque année, entre le 18 et le 25 janvier, des chrétiens reprennent conscience de ce défi de l’unité et le confie au Seigneur. Vous trouvez ici la préparation de la Communauté de Grandchamp en Suisse. Cette préparation a été adaptée à la Belgique par le Comité interecclésial de Bruxelles.
Les conditions sanitaires nous empêchent de vivre ensemble une célébration œcuménique. Puisse ce livret aider le lecteur à faire sien ce désir de notre Seigneur : « Que tous soient un ». Bonne semaine ! J.S.
En ce moment historique, marqué par la crise écologique, et par de graves déséquilibres économiques et sociaux aggravés par la pandémie du coronavirus, nous avons plus que jamais besoin de fraternité. Et Dieu nous l’offre en nous donnant son Fils Jésus : non pas une fraternité faite de belles paroles, d’idéaux abstraits, de vagues sentiments... Non. Une fraternité basée sur l’amour réel, capable de faire rencontrer l’autre différent de moi, de compatir à ses souffrances, de s’approcher et d’en prendre soin même s’il n’est pas de ma famille, de mon ethnie, de ma religion. Il est différent de moi, mais il est mon frère et ma sœur. Et cela est vrai aussi dans les relations entre les peuples et les nations.
Message « Orbi et Orbi » du Pape François
Citation de la semaine
Extrait du message du pape François pour
la Journée de la Paix du 1er janvier 2021
L’année 2020 a été marquée par la grande crise sanitaire de la Covid-19 qui est devenue un phénomène multisectoriel et global, aggravant des crises très fortement liées entre elles, comme les crises climatique, alimentaire, économique et migratoire, et provoquant de grands inconvénients et souffrances.
Je pense surtout à ceux qui ont perdu un membre de leur famille ou une personne chère, mais aussi à ceux qui ont perdu leur travail.
Un souvenir spécial s’adresse aux médecins, aux infirmiers, aux pharmaciens, aux chercheurs, aux volontaires, aux aumôniers et au personnel des hôpitaux et des centres de soins qui se sont prodigués, et continuent à le faire, au prix de grandes fatigues et de grands sacrifices à tel point que certains d’entre eux sont morts dans leur désir d’être proche des malades, de soulager leurs souffrances ou de leur sauver la vie.
En rendant hommage à ces personnes, je renouvelle mon appel aux responsables politiques et au secteur privé pour qu’ils adoptent les mesures appropriées afin de garantir l’accès aux vaccins contre la Covid-19 et aux technologies indispensables nécessaires pour assister les malades et tous ceux qui sont plus pauvres et plus fragiles.
Citation de la semaine
Venez, divin Messie, nous rendre espoir
Et nous sauver : vous êtes notre vie,
Venez, venez, venez !
Ô Fils de Dieu, ne tardez pas :
Par votre corps donnez la joie
À notre monde en désarroi.
Redites-nous encore de quel amour vous nous aimez.
Ne vous faites pas d’illusions : Dieu ne se laisse pas narguez ; car ce que l’homme sème il le récoltera. « Celui qui sème pour sa propre chair récoltera ce que produit la chair : la corruption. Celui qui sème pour l’Esprit récoltera ce que produit l’Esprit : la vie éternelle.
Epître de saint Paul aux Galates
Bien à vous.
« Croyez-vous que je peux faire cela ». ( Mt 9,27-31)
Avons-nous foi en l’action salvatrice de Dieu sur nos vies et sur nos vues ? Or il nous arrive de regarder sans rien voir. Nos vies s’en trouvent ainsi obscurcies. Nous avançons dans les ténèbres où tout se confond ! Le mal se change en bien et le bien en mal. Le mal chez l’autre nous le percevons vite et le bien passe inaperçu. Cet état de cécité peut prendre la durée de toute une vie. Le monde autour de nous est perçu à travers un prisme continuellement déformé. Notre regard est plus un regard de chair qu’un regard de foi Un regard de maman, un regard de Jésus. Approchons-nous du Christ pour qu’il nous touche et nous guérisse en nous ouvrant les yeux. Qu’il ouvre nos yeux de la foi, pour nous aider à mieux voir et à mieux le voir à travers les évènements de la vie, à travers le pauvre, l’orphelin, le prisonnier, l’affamé et à travers l’Enfant fragile de Bethléem
P. François Moke Ndele (Tellin)
"Ce n'est pas en me disant: ''Seigneur, Seigneur!'' qu'on entrera dans le royaume des Cieux, mais c'est en faisant la volonté de mon Père qui est aux cieux. Ainsi, celui qui entend les paroles que je dis là et les mets en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a construit sa maison sur le roc".
Deux verbes, dire et faire. Pas faire quoi que ce soit, mais la volonté de Dieu. Voilà comment on bâtit sur du solide. . Le véritable chrétien est un ''pratiquant'' de la charité, envers Dieu et envers son prochain. Nous faisons constamment des choses. N'est-il pas temps de penser le faire autrement sous le regard de Jésus?
Oui, compter sur le Seigneur même dans les moindres des choses nous permet de faire ce que nous faisons chaque jour, mais autrement. Pendant le temps de l'Avent, nous pouvons compter sur Celui qui vient nous rejoindre pour transformer nos vies. N'ayons peur de l'invoquer: ''Viens nous apprendre faire comme Toi, avec Toi et pour Toi la volonté du Père''
Ambroise LONGI
La citation de la semaine
30 novembre
Dans sa récente Lettre pastorale Duc in altium, Mgr Warin écrit :
Nous chrétiens devons dire ce qui nous habite, « rendre compte de l’espérance qui est en nous », mais – comme l’apôtre Pierre le précise dans sa première Lettre -« avec douceur et respect » (cf. P 3, 15-16). Sans imposer. Comme le Seigneur Jésus disait : « Si tu veux… ». Nous chrétiens devons être des proposants de la foi. Comme Bernadette qui, témoin qu’à la Grotte de Massabielle le ciel avait touché la terre, disait au curé de Lourdes : « Je suis chargée de vous le dire, pas de vous le faire croire. ».
« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
il dira à ceux qui seront à sa droite :
‘Venez, les bénis de mon Père,
recevez en héritage le Royaume
préparé pour vous depuis la fondation du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ;
j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ;
j’étais malade, et vous m’avez visité ;
j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’ »
Ce dimanche 18 octobre, contre vents et marées, la 21e Unité Pastorale du diocèse de Namur a été fondée. Le Chanoine Joël Rochette, vicaire général, qui présidait cette célébration, a lu le décret signé par Monseigneur Warin, fondant la nouvelle Unité qui comprend les paroisses de Rochefort, Jemelle, Wavreille et Havrenne.
L'équipe de la radio RTBF était présente aussi pour retransmettre sur les ondes ce moment charnière de la vie de ces communautés chrétiennes famennoises et partager ainsi le plus largement possible cet événement, alors que les mesures sanitaires drastiques et le virus en écartaient bon nombre. Le timing était donc serré !
Après la liturgie de la Parole, le Chanoine Rochette a envoyé l’Équipe Pastorale composée de six personnes, l'abbé Jules Solot, curé-doyen, et l'abbé Joseph Kayembe, vicaire, un diacre et trois dames. Cette équipe aura pour trois ans la mission d’animer et de coordonner avec l’abbé Jules Solot et sous sa responsabilité l’ensemble de la pastorale de l’Unité. Elle aura pour objectif particulier quatre priorités déterminées à la suite d'une analyse de la situation sociologique et pastorale actuelle. Heureusement, pour mettre en œuvre tout cela, elle pourra compter sur le Conseil Pastoral, les équipes de proximité et autres équipes et associations ! Pendant que l’assemblée priait pour les membres de cette équipe, ceux-ci avaient posé leurs mains sur le livre de la Parole de Dieu, elle qui est le ciment de toute notre action missionnaire.
Il y a du travail mais l'enthousiasme et l'espérance sont bien présents, de même que la foi ancrée dans la certitude que l'Esprit saint est à l'œuvre et que Jésus nous devance sur nos routes humaines.
C'est l'occasion aujourd'hui de nous réjouir ensemble, de nous sentir unis par un lien de fraternité, d'amour et d'éternité.
Bonne route à tous pour vivre aujourd'hui et accueillir demain, dans la paix et la confiance qui nous viennent de Dieu.
Ce dimanche 18 octobre, contre vents et marées, la 21e Unité Pastorale du diocèse de Namur a été fondée. Le Chanoine Joël Rochette, vicaire général, qui présidait cette célébration, a lu le décret signé par Monseigneur Warin, fondant la nouvelle Unité qui comprend les paroisses de Rochefort, Jemelle, Wavreille et Havrenne.
L'équipe de la radio RTBF était présente aussi pour retransmettre sur les ondes ce moment charnière de la vie de ces communautés chrétiennes famennoises et partager ainsi le plus largement possible cet événement, alors que les mesures sanitaires drastiques et le virus en écartaient bon nombre. Le timing était donc serré !
Après la liturgie de la Parole, le Chanoine Rochette a envoyé l’Équipe Pastorale composée de six personnes, l'abbé Jules Solot, curé-doyen, et l'abbé Joseph Kayembe, vicaire, un diacre et trois dames. Cette équipe aura pour trois ans la mission d’animer et de coordonner avec l’abbé Jules Solot et sous sa responsabilité l’ensemble de la pastorale de l’Unité. Elle aura pour objectif particulier quatre priorités déterminées à la suite d'une analyse de la situation sociologique et pastorale actuelle. Heureusement, pour mettre en œuvre tout cela, elle pourra compter sur le Conseil Pastoral, les équipes de proximité et autres équipes et associations ! Pendant que l’assemblée priait pour les membres de cette équipe, ceux-ci avaient posé leurs mains sur le livre de la Parole de Dieu, elle qui est le ciment de toute notre action missionnaire.
Il y a du travail mais l'enthousiasme et l'espérance sont bien présents, de même que la foi ancrée dans la certitude que l'Esprit saint est à l'œuvre et que Jésus nous devance sur nos routes humaines.
C'est l'occasion aujourd'hui de nous réjouir ensemble, de nous sentir unis par un lien de fraternité, d'amour et d'éternité.
Bonne route à tous pour vivre aujourd'hui et accueillir demain, dans la paix et la confiance qui nous viennent de Dieu.